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kitabu
19 avril 2013

Résumé : Leo est un adolescent de seize ans comme

Blanche-comme-le-lait-rouge-comme-le-sang_2671

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Résumé :

Leo est un adolescent de seize ans comme tant d’autres : il aime ses copains, le foot, les virées en scooter, et vit en symbiose parfaite avec son iPod. Les heures de cours sont pour lui une torture, et les professeurs constituent « une espèce protégée qui, on l’espère, s’éteindra définitivement ». Ainsi, lorsque se présente un nouveau remplaçant d’histoire et de philo, il n'en attend rien de bon. Mais le jeune professeur est différent : une lumière brille dans ses yeux quand il explique, quand il incite les élèves à vivre intensément, à poursuivre un rêve. Leo sent en lui la force d’un lion, mais il a un ennemi effrayant : le blanc. Le blanc, c’est l’absence ; dans sa vie, tout ce qui concerne la privation et la perte est blanc. Le rouge, en revanche, est la couleur de l’amour, de la passion, du sang. Les cheveux de Beatrice sont roux. Oui, car Leo a un rêve qui se nomme Beatrice, même si elle l’ignore encore. Leo a aussi une réalité, plus proche et, comme toutes les présences proches, difficile à distinguer : son amie Silvia. Leo découvre que Beatrice est malade et que sa maladie est en rapport avec ce blanc qui l’effraie tant. Il lui faudra creuser en lui, saigner et renaître pour comprendre que les rêves ne peuvent pas mourir et trouver le courage de croire en quelque chose de plus grand. Se fondant sur une relecture moderne et vitale de la grande tradition classique, D’Avenia s’allie avec le jeune professeur de lycée - métier de l’auteur - pour offrir énergiquement au lecteur plus ou moins jeune des réponses qui, comme toutes les réponses vraies, ne se veulent pas définitives, mais ne sont ni hésitantes ni résignées. Traduit de l'italien par Nathalie Bauer

Mon avis :

Ce roman n'a pas remporté mes suffrages mais le sujet et surtout le style narratif m'ont séduits. L'originalité réside dans le style, D'Avenia maîtrise le langage "djeunes"(il est prof dans un collège italien) et cela rend Léo sympathique. Cependant, l'histoire exhale un parfum de déjà vu, je le rangerais plutôt dans la catégorie romans jeunesse.

Extrait :

Quand Béatrice est devant l'école, ça change tout. Des yeux verts qui lui dévorent le visage. Des cheveux roux qui, une fois dénoués, vous jettent l'aube au nez. Des mots rares mais justes. Si elle était du cinéma, elle serait un genre à inventer. Si elle était un parfum : le sable au petit matin quand la plage est en tête à tête avec lamer. Une couleur ? Béatrice est rouge. De même que l'amour est rouge. Tempête, Ouragan qui te balaie. Tremblement de terre qui te démolit. C'est ce que je ressens chaque fois que je la vois...).

 

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